
JEU-CONCOURS: crée ton sac de course
Salut cher lecteur,
En ce début d’année, j’ai décidé de m’essayer aux éco-défis du blog les Echos Verts. Durant ce premier trimestre on sème des graines vertes autour de nous. Lire la Suite
Blog d'une écolo en herbe
Salut cher lecteur,
En ce début d’année, j’ai décidé de m’essayer aux éco-défis du blog les Echos Verts. Durant ce premier trimestre on sème des graines vertes autour de nous. Lire la Suite
Hey cher lecteur,
Aujourd’hui, je partage avec toi mes idées pour fêter noël et respecter l’environnement.
Je commence par mon sapin de Noël, minimaliste, certes, mais il me plait! Je l’ai fabriqué avec un carton d’emballage et la fin d’un tube de peinture. Au moins, il est gratuit, il ne perd pas ses épines et il sera utile pour allumer le feu de cheminée après les fêtes.
Je te présente également le sapin de noël de ma maman. Elle a upcyclé une vielle bâche et les décorations de noël qui lui restait. Les boules sont cousues à la bâche, elle peux ainsi l’enrouler et le stocker facilement jusqu’à l’année prochaine. J’adore sa création!
Je te présente ensuite mon emballage cadeau réutilisable. Il suffit de coudre un morceau de tissus et de le décorer avec des tampons encreurs. Ce que j’aime bien dans cette idée, c’est que je vais l’offrir à quelqu’un qui va peut être le réutiliser… J’ai l’impression de propager « la bonne parole »!
J’ai aussi utilisé du papier journal et de la ficelle pour emballé mes cadeaux. C’est économique, vu le prix du papier cadeau, des petits noeuds et autre bolduc! Et puis le papier journal peut être recyclé ou utilisé pour allumer le feu de la cheminée.
Je te rappelle mon idée de calendrier de l’avent: zéro déchet et trop bon!
Partage avec moi tes idées et tes créations de ton noël!
Joyeuses fêtes….
Bienvenue cher lecteur,
C’est un grand honneur que m’a fait Leianaa, de me nommer pour les liebster award 2016.
Il s’agit d’un prix de reconnaissance, permettant aux petits nouveaux de faire connaître leur blog et un petit bout d’eux même. Je vais donc vous présenter 11 faits à mon propos, puis répondre aux 11 questions posées par la blogueuse m’ayant nommée. Ensuite, je vais poser 11 questions à 11 nouveaux blogueurs….Sauf, que je ne connais qu’une seule baby blogueuse… Ahah.
– Pourquoi avoir ouvert un blog ?
Je suis une passionnée dans beaucoup de domaines, et j’adore écrire. Lors de mes voyages, j’ai adoré écrire des mails à mes proches, et eux ont adoré me lire, parait-il. J’avais été choisi pour écrire un blog su un voyage humanitaire alors que j’étais étudiante. Je pense avoir pleins de choses à partager, outre les voyages, et c’est pourquoi je me suis lancée.
– Quel a été l’élément déclencheur de ton mode de vie zéro déchet ?
J’ai lu le livre de Béa Johnson en 2013. Il a été le déclic, j’ai mis du temps pour m’y mettre vraiment, mais petit à petit, le zéro déchet a pris de la place dans ma vie. Ma première étape fut de tout ranger dans des bocaux. J’ai commencé à lire des blogs et des bouquins sur l’écologie, le minimalisme. Et mon champ des recherches s’est passablement agrandi aujourd’hui. Mon mode de vie évolue encore chaque jour.
– Quelles alternatives zéro déchet n’as tu pas encore trouvé ?
Comme tout le monde, je n’ai pas de solution au papier WC! Et puis, si je ne peux pas aller au marché, je me rend au supermarché du coin. Là, j’ai le choix entre un légume bio emballé dans du plastique ou un légume pas bio… Donc les semaines sans marché sont riches en déchet, malheureusement.
– Quels sont tes projets 2017 ?
Mon gros projet de 2017, c’est un road trip en Australie d’un mois (annulé cette année, les boules!).
– Que fais tu dans la vie ?
Je suis infirmière dans un hôpital spécialisé en gériatrie (pour personnes âgées). NON, pas un lieu de vie, un hôpital!
– Quels sont tes produits/marques/boutiques zéro déchet préférés ?
Je suis fan de Lamazuna, j’adore leurs produits et leurs colis respectueux de l’environnement. J’adore les vêtements Picture Organic Clothing qui sont fabriqués à partir de produits recyclés. Et enfin, je kiffe mon producteur de pâtes fraîches et ses raviolis.
– Quel est ton plat préféré ?
Je vis dans les montagnes, alors forcément, j’adore tout ce qui concerne le fromage: la fondue, la raclette, la tartiflette (pas très « healthy », j’avoue).
– As tu déjà voyagé ? Si oui, dis nous en plus
Je suis allée trois fois au Togo pour des stages infirmiers et j’y suis retournée cette année dans un cadre plus personnel. J’ai fait un voyage en train entre la Suède et la Norvège. J’ai aussi fait un road trip aux Etats Unis (Californie, Utah, Nevada, Arizona). Cette année, j’ai visité la Suisse à deux reprises. Je connais un peu l’Allemagne et l’Angleterre.
– Quels sont les blogs que tu lis régulièrement ?
Jessicannelle, Echos verts, Green Gazelle, Girls Awake, Accro à l’Organisation (terminé malheureusement…), Mademoiselle Grenadine, Leianaa…
– As tu des animaux ?
Ma maman m’a transmis la passion des chevaux: nous en avons deux (la jument et son petit), de la marque des haflinger. Je pratique l’éthologie avec eux (je chuchote…)
– Quel est ton livre préféré ?
Le petit prince de Saint Exupéry…
Coucou cher lecteur,
Aujourd’hui, je te présente mon calendrier de l’avent fait maison, et la recette pour le fabriquer en 5 minutes chrono!
Commence par placer des bons chocolats (achetés chez un bon artisan chocolatier) dans le moule à muffins.
Découpe 24 cercles au diamètre des moules, avec des ciseaux ou une perforatrice dans du joli papier cartonné.
Enfile les cercles de papier dans la rainure du moule, ou fixe les avec du scotch
Colle les numéros ou écris les sur les cercles de papiers
Enfile une ficelle dans le trou du moule si tu veux accrocher le calendrier à un crochet
Attend le 1er décembre pour manger un chocolat par jour!
Salut cher lecteur,
Aujourd’hui, je fais le bilan du désencombrement de ma salle de bain.
Tu peux être sur que ce n’est pas un placement de produit, vu le nombre de lecteur que j’ai, inutile de te préciser que Lamazuna ne m’a pas payer pour parler d’eux. Mais je t’en parle car j’ai vraiment envie d’encourager ce genre d’entreprise!
J’ai acheté chez eux: mon shampoing, mon déodorant, mon dentifrice et mes oriculis. J’utilise leurs produits depuis quelques mois et j’en suis ravie! Lorsque je les ai reçu la première fois, je les ai trouvé tout petit, mais ne t’inquiète pas, ils durent longtemps. Dans ce cas précis, ce n’est pas la taille qui compte!
Les produits sont naturels, ne sont pas essayés sur de pauvres animaux, et sont emballés dans des emballages cartons compostables ou recyclables. Ils sont envoyés depuis la France dans des matières entièrement recyclables!
Les prix sont plus élevés qu’en supermarché, à toi de voir si tu veux des produits de qualité en moins grande quantité, et quelle entreprise tu soutiens.
J’achète mon savon de marseille en grande quantité par correspondance: en pain solide pour l’hygiène et en paillettes pour mes produits ménagers. Sache qu’il n’y a plus que trois savonneries qui font du VRAI savon de marseille: Marius Fabre, Le Serail et Fer à Cheval.
Tu peux t’en servir pour la douche, te laver les mains, faire de la mousse à raser avec un blaireau, mais il te sera très utile également pour le ménage.
Voilà comment j’ai remplacé le jetable par du « conservable ». De quoi faire quelques économies au bout du compte.
A bientôt!
Salut cher lecteur,
Dans mes objectifs du mois d’octobre j’essayais de diminuer mon impact écologique à l’intérieur de ma salle de bain. Je publie un dernier article à ce sujet dans lequel, je m’attaque aux produits de monsieur.
Ma première idée était d’utiliser simplement un blaireau et du savon de Marseille. C’est une solution efficace, paraît-il, mais qui ne convient pas à mon cher et tendre.
J’ai cherché alors une recette de mousse à raser maison qui ne nécessite que peu de produits. J’en ai trouvé une à base d’aloe vera qui s’apparente plutôt à un gel mais qui a la même fonction: faciliter le rasage.
La recette est simple, mélanger:
J’ai cherché une recette à base daloe vera, car c’est excellent pour les cheveux et que ça m’évitait d’acheter d’autres produits: #minimalisme power!
La recette est simple: un peu de sucre dissout dans un peu d’eau et je mélange le tout avec de l’aloe vera.
Testé et approuvé par Monsieur !
En octobre, j’ai décidé de trier le contenu de ma salle de bain et d’utiliser des produits sains et écologiques.
J’ai essayé de fabriquer mon shampoing, ce qui s’est soldé par échec. J’ai du recommencer la recette 2 fois (oh le gâchis!) et pour finir il s’effritait tellement qu’il n’a duré que le temps de deux shampoings. Pour finir, je me retrouve avec pleins de produits de bases nécessaires à la fabrication de cosmétique dont je n’aurai probablement plus jamais l’utilité. Pas très minimaliste tout ça…
Je me suis tournée vers le marché du shampoing solide qui me satisfait, peu importe la marque. J’achète celui qui n’est pas emballé dans du plastique et fabriqué en France. Le carton qui l’entoure et dans lequel il est expédié sont recyclables, mais aussi parfait pour allumé mon fourneau!
J’ai essayé de m’en passer, mais je perds la moitié de mes cheveux à chaque démêlage, tellement ils sont secs! Je suis d’ailleurs passé au peigne (en bois) à la place de la brosse.
J’ai voulu fabrique moi même un soin capillaire, dont j’ai trouvé la recette dans un livre de slow cosmétique. Enthousiaste, je me suis rendue sur aromazone, mais après avoir tous mis dans le panier, je me rend compte que l’après shampoing revient cher, et qui plus est, que j’achète 4 produits avec leurs emballages, pour n’en fabriquer qu’un. J’ai donc laissé tomber.
Pour finir, je me suis tournée vers l’huile d’argan pure. C’est un peu contraignant car il faut penser à l’appliquer la veille du shampoing. C’est donc un avant shampoing que j’utilise. J’applique l’huile sur mes cheveux, je mets une petite serviette de protection pour la nuit et le lendemain je fais un shampoing classique. Et voilà! C’est magique, mes cheveux sont brillants, démêlés et tout doux. En plus, la bouteille en verre est recyclable.
Un shampoing solide, de l’huile d’argan et un peigne. J’utilise un élastique classique pour les attacher, mais je ne les accumulent pas. Quelques élastiques me suffisent pour longtemps.
Je vais de temps en temps chez un coiffeur, juste pour faire une coupe. Malheureusement, proche de chez moi, ils utilisent tous des produits chimiques pour laver les cheveux, donc je m’y rends le moins souvent possible…
Salut cher lecteur,
Aujourd’hui j’aimerais t’expliquer les raisons qui me poussent à passer du temps en cuisine pour faire ma propre sauce tomate…et te donner envie de faire de même.
Lorsque je mange des pâtes avec de la sauce tomate maison, je ne peux QUE me régaler.
L’histoire commence au marché, quand je choisis soigneusement mes petits légumes et aromates bio et locaux (tomates, oignons, ail, poivrons, persil, basilic… selon les recettes). Quand je range mon panier au retour du marché, l’odeur des herbes fraîches envahissent la maison. Avant même de la cuisiner, je sais que je vais me régaler!
L’histoire continue dans la casserole, lorsque je la remplie, selon mes goûts de plusieurs ingrédients que je connais! Pas de E-truc ni de colorant chimique. Je brasse tous cela sur le feu jusqu’a obtenir le graal!
L’histoire ce termine à ce moment magique où la sauce rencontre ma bouche! Miam miam!
Comme je fais attention à mon impact écologique, je réfléchis à celui de ma sauce tomate en boite achetée au supermarché du coin.
Je lis la liste d’ingrédients et me rend compte que je ne les connais pas tous. Je ne sais pas non plus où ont été produits les tomates, ni comment.
Ça m’étonnerait franchement qu’une grande marque de sauce tomate se dise « et si on achetait ces tomates qui coûtent un peu plus chères mais qui sont produites localement, pour soutenir l’agriculteur du coin quitte à perdre un peu d’argent… »
Bien sur, il y a la boîte qui emballe la sauce tomate, qui est recyclable mais qui pollue forcément entre la fabrication et le recyclage.
Et puis, le plus dommage, c’est qui si je ne m’y prend pas un peu en avance et que je veux faire une sauce tomate maison en plein mois de décembre, c’est râpé! A moins d’acheter des tomates de l’autre bout du monde…
Du coup, j’anticipe! J’achète des tomates au marché avant qu’il n’y en ai plus. Je cuisine une grosse casserole de sauce tomate. Ça me prends environ 10mn pour laver et découper les ingrédients et la cuisson se fait toute seule, pendant environ 40mn. Je remplis des petits bocaux (en verre de préférence) et hop, au congélo!
Alors si je t’ai convaincu, regarde les recettes sur internet, choisis celle que tu préfère et dépêche de faire ta sauce car… winter is coming!
Salut cher lecteur,
J’ai lu que les cotons tiges avec le bâtonnet en plastique seront interdit à partir de 2018 car ils polluent considérablement nos océans. C’est cool hein? Mais pourquoi attendre 2018!
Depuis plusieurs années, j’utilise déjà les cotons tiges en cartons et je les mets au composte.
Et puis, récemment, j’ai entendu parlé de l’oriculi: un petit bâtonnet en bois ou en acier qui permet de se curer les oreilles à l’infini.
J’étais plutôt sceptique au départ. Mais il faut reconnaître qu’il y a des avantages notables:
Du coup, je me suis renseignée et j’ai appris que le cérumen a des rôles importants comme la lubrification, le nettoyage et la protection contre les bactéries et les champignons. Il faut donc l’enlever seulement sur la partie visible de l’oreille pour le côté esthétique et ne pas enfoncer le coton tige trop profond!
Et puis j’ai décidé d’essayer. L’oriculi nettoye facilement le pavillon et l’entrée du conduit auditif.
Une simple remarque cependant, je le mets où mon cérumen après? Parce que si je le dépose sur un coton ou un mouchoir, c’est retour à la case départ. Et puisqu’il est en bois, je vais éviter de le passer sous l’eau pour qu’il dure toute ma vie. Il faut donc se procurer des cotons lavables ou utiliser un petit chiffon.
Si vous avez d’autres idées, mettez un commentaire.
J’ai décidé de me lancer des objectifs mensuels pour améliorer mes habitudes de vie. Je ferais des articles en lien régulièrement et un bilan en fin de mois.
Octobre est déjà bien entamé, et c’est pourquoi, je vais m’intéresser à une pièce déjà peu remplie chez moi, j’ai nommée: la salle de bain.
L’objectif est de réfléchir à la place de chaque objet qui rempli la pièce:
Le but est d’identifier ce qui peux rester dans ma salle de bain de ce qui doit en sortir. Si je décide de remplacer un objet par un autre
Durant cette fin de mois, je vais m’intéresser également aux produits cosmétiques maison.
Je t’encourage, toi aussi, à te poser des questions dans ta salle de bain et de réfléchir avec moi, à « Comment faire mieux« .